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Ludwig van Beethoven
Concerto pour piano n° 5, l’Empereur - 2e mouvement

02-10-2023 - En raison d’une attaque menée par le Front de Libération des Altistes (ou bien à une panne du disque dur du serveur couplée à une politique de sauvegarde hasardeuse), tous les posts et autres depuis le 26/09/2023 ont été perdus, même les mises à jour que j’aurais pu faire si je n’avais pas été si flemmard (au final, heureusement que je n’ai rien fait depuis un bout de temps). Merci pour votre compréhension !

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Informations sur l’œuvre

Concerto pour piano n° 5, l’Empereur - 2e mouvement
Mouvements :

- 1er mouvement
- 2e mouvement
- 3e mouvement

Compositeur : Ludwig van Beethoven

Création : Leipzig, le 28 novembre 1811

Effectif : Orchestre symphonique (soliste : Piano)

Commentaires des internautes

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Jihel, le 01/03/2019 à 16:37
Merci beaucoup Rose.
Bien que la construction soit différente, on peut comparer ce 2nd mouvt de Beethoven au 2nd mouvement du concerto 12 de Mozart.
Il pourrait s’intituler : lettre à ma bien aimée.
On y trouve, toutes les ressources du coeur et de la raison possibles. Et justement, cela commence de telle sorte que l’on ne peut être que touché par les sentiments qui s’expriment tellement ils sont profonds et doux.
Que de délicatesse, de tendresse dans les notes du piano. La lettre se poursuit. Mozart raconte des choses. Mais quand le piano reprend les accords du début, c’est plus sérieux, plus pressant.
Et vous remarquerez la fin du piano : il ménage le suspense avec une montée presque hésitante, pour finir par rassurer complètement.
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Anonyme, le 01/03/2019 à 9:07
Quelle justesse dans vos phrases Jihel et tellement de sensibilité,il faut absolument mettre un peu de douceur dans ce monde de brutes!Vous avez toute mon admiration,bravo!

Rose.

Jihel, le 01/03/2019 à 8:03
J’aime comme je l’ai déjà écrit précédemment. C’est un passage qui permet de comprendre à quel point justement les émotions, les sentiments peuvent être bien exprimés quand ils ne sont pas soumis aux règles du langage - découpage en mots, en phonèmes .On pourrait dire qu’il y a transmission presque directe.
Et je repense au violon - quitte à m’attirer de nouveaux points d’interrogation - et à sa faculté de faire monter la tension progressivement jusqu’à un paroxysme. C’est ce que le piano fait presque avant de lâcher une note (accord) sublime. C’est un moment crucial. Tout le mouvement est rassemblé là . Si le ou la pianiste ne réussit pas là , on est déçu. J’ai souvent été déçu. Mais c’est en partie à cause de moi, comme toujours; J’acquiers une conception, une idée de l’esprit de l’oeuvre, quand l’interprète ou l’orchestre ne les rendent pas, je regrette.
Désolé pour ce charabia de mélomane.

Anonyme, le 28/02/2019 à 9:05
Magnifique, apaisant.

Anonyme, le 11/01/2019 à 7:33
magnifique .a écouter les yeux fermé .

Anonyme, le 25/08/2017 à 20:17
superbe ---Merci Ludwig

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