Pressé(e) ? Découvrez la biographie courte de Vivaldi
La musique du baroque tardif (début XVIIIe siècle) est riche de compositeurs célèbres : Georg Philipp Telemann, Johann Sebastian Bach et Georg Friedrich Haendel pour l’Allemagne ; Jean-Philippe Rameau et François Couperin pour la France ; Domenico Scarlatti et Antonio Vivaldi pour l’Italie.
Né le 4 mars 1678 à Venise, Antonio Vivaldi est le fils d’un violoniste lui-même compositeur. Il est l’aîné de 6 enfants. Il est destiné à la prêtrise. Il apprend le violon avec son père qu’il remplace de temps à autre à la basilique. Ordonné prêtre le 23 mars 1703, Antonio souffre d’une maladie, certainement de l’asthme, qui le dispense de dire la messe (voir ci-dessous). Il s’adonne alors à la musique (à cette époque, cela n’est pas encore inconvenant pour un prêtre).
En septembre 1703, Vivaldi est engagé comme maître de violon à l’Ospedale della Pietà , sorte d’orphelinat pour jeunes filles. Une partie d’entre elles recevait une éducation spécifiquement musicale et il est incontestable que certaines avaient beaucoup de talent. De très bons concerts y sont donnés régulièrement. Il y est nommé maître de violon puis maître de composition.
Frédéric IV, roi du Danemark, assiste en 1708 à un concert donné par Vivaldi qui commence à se tailler une bonne réputation. Ses concertos sont aussi donnés dans différentes églises de Venise. Vivaldi est également un virtuose du violon et il impressionne de nombreux témoins de l’époque.
Et oui ! Le célèbre auteur des Quatre saisons était prêtre : c’est sa chevelure flamboyante et son tempérament volcanique qui lui ont donné son surnom Il prete rosso (le "prêtre roux"). Plus intéressé par la musique que par le service religieux, il quitta un jour l’office précipitamment pour noter un thème. Convoqué par le tribunal de l’inquisition, il prétexta des crises d’asthme. Il fut condamné à ne plus dire la messe...ce qui l’arrangeait plutôt !
En 1709, Vivaldi n’est pas reconduit dans son poste à l’Ospedale della pieta. On peut penser que son poste avait été supprimé car il y est à nouveau nommé en 1711. En 1716, on lui donne le poste de "maestro di concerti" où il peut alors s’adonner à la composition de musique religieuse. Pratiquement toutes les œuvres de cette période sont perdues.
Ses talents de violoniste et de compositeur le font connaître dans tous les milieux de Venise, plaque tournante de la musique européenne. La popularité de Vivaldi s’est maintenant étendue au-delà de l’Italie. En 1711, il confie l’édition de ses compositions à Étienne Roger, célèbre éditeur d’Amsterdam grâce à une qualité de reproduction unique à cette époque. Son opus 3, L’Estro Armonico, recueil de douze concertos pour violon, obtient du succès dans une bonne partie de l’Europe du Nord. Une copie parviendra jusqu’à Johann Sebastian Bach qui en transcrit une partie pour claviers. En 1714, Vivaldi publie La Stravaganza, autre recueil de concertos pour violon. La popularité dont il jouissait est démontrée par le fait qu’Étienne Roger lui commandera les opus 5, 6 et 7 et les fera graver à ses frais.
À partir de 1718, Vivaldi entame une longue période de voyages pour répondre à des commandes du Nord de l’Italie. Il reste néanmoins attaché au service de l’Ospedale et y officie à chaque retour. De 1718 à 1720, il est à Mantoue. De 1723 à 1725, il est à Rome où il passe plusieurs saisons et a deux fois l’occasion de jouer devant le Pape. De 1726 à 1728, il séjourne pour la deuxième fois à Venise. Il aura là l’occasion de se consacrer au théâtre. Sa popularité est au zénith. Il dédie son opus 8 : Il cimento dell’armonia e dell’invenzione (dans lequel figurent les Quatre Saisons) au comte Morzin.
Les Quatre saisons firent un triomphe à travers l’Europe y compris à Paris en 1725. L’opus 10, La Cetra, est dédié en 1728 à l’empereur d’Autriche Charles VI. Les œuvres de Vivaldi sont toujours publiées à Amsterdam mais il estime qu’il gagnerait davantage à les vendre lui-même ce qui expliquera malheureusement la perte de nombre de partitions. En 1733, Vivaldi joue pour Charles VI à Vienne. En 1738, il joue au théâtre Schouwburg à Amsterdam. Il interprète les concertos qui ont fait son succès.
De passage à Venise en 1739, Charles de Brosses nous livre de précieux témoignages :
- sur la musique dans les Ospedale : « La musique transcendante ici est celle des hôpitaux. Il y en a quatre, tous composés de filles bâtardes ou orphelines, et de celles que leurs parents ne sont pas en état d’élever. Elles sont élevées aux dépens de l’État, et on les exerce uniquement à exceller dans la musique. Aussi chantent-elles comme des anges, et jouent du violon, de la flûte, de l’orgue, du hautbois, du violoncelle, du basson ; bref, il n’y a si gros instrument qui puisse leur faire peur. Elles sont cloîtrées en façon de religieuses. Ce sont elles seules qui exécutent, et chaque concert est composé d’une quarantaine de filles. Je vous jure qu’il n’y a rien de si plaisant que de voir une jeune et jolie religieuse, en habit blanc, avec un bouquet de grenades sur l’oreille, conduire l’orchestre et battre la mesure avec toute la grâce et la précision imaginables. Leurs voix sont adorables pour la tournure et la légèreté ; car on ne sait ici ce que c’est que rondeur et sons filés à la française. (…) Celui des quatre hôpitaux où je vais le plus souvent et où je m’amuse le mieux, c’est l’hôpital de la Piété ; c’est aussi le premier pour la perfection des symphonies. »
- sur le maestro : « Vivaldi s’est fait de mes amis intimes pour me vendre des concertos bien cher. Il y a en partie réussi, et moi, à ce que je désirais, qui était de l’entendre et d’avoir souvent de bonnes récréations musicales : c’est un vieillard, qui a une furie de composition prodigieuse. Je l’ai ouï se faire fort de composer un concerto, avec toutes ses parties, plus promptement qu’un copiste ne le pourrait copier. J’ai trouvé à mon grand étonnement, qu’il n’est pas aussi estimé qu’il le mérite en ce pays-ci, où tout est de mode, où l’on entend ses ouvrages depuis trop longtemps, et où la musique de l’année précédente n’est plus de recette. »
En mars 1738, il rentre à Venise et apprend que son poste lui a été définitivement retiré. Il décide alors de quitter défitivement Venise où sa personnalité fantasque est entâchée par des ragots malveillants (son extravagance naturelle ne facilite pas les choses). Cette mauvaise presse entretenue par ses ennemis (notamment Benedetto Marcello, rival jaloux) explique sans doute l’oubli rapide dont il fut victime en Italie.
Après un passage à Dresde où il joue les fameux "concertos de Dresde", dont l’instrumentation est particulièrement recherchée (écouter le début du RV 576) il gagne Vienne en 1740 où il espère faire jouer ses opéras et gagner les faveurs de l’Empereur Charles VI. Malheureusement, celui-ci décède avant son arrivée : son deuil interdisait toute représentation.
Sans protecteur ni ressources assurées, Vivaldi meurt à Vienne le 28 juillet 1741 d’une "inflammation interne" (terme de l’époque) pauvre et presque oublié de tous. Néanmoins il eut le droit à une messe de requiem à la cathédrale de Saint-Étienne dans laquelle chantait, parmi les choeurs, le jeune Joseph Haydn. « Il avait gagné en un temps plus de 50 000 ducats, mais sa prodigalité désordonnée l’a fait mourir pauvre à Vienne » : telle est l’épitaphe peu élogieuse retrouvée plus tard dans des archives vénitiennes.
Reconnu comme un prodigieux virtuose du violon, Vivaldi est engagé comme maître de musique de l’Ospedale della Pieta, le plus important des quatre hospices de Venise, où les jeunes filles reçoivent une éducation musicale poussée. Disposant à volonté de ces musiciennes chevronnées, il peut laisser libre cours à sa créativité et compose pour tous les instruments près de cent sonates (écouter le 4ème mvt de la Sonate pour hautbois et continuo en ut m, RV53) et plus de 400 concertos (écouter le 1er mvt du Concerto en la M, RV158). Son étonnante inventivité fait mentir le mot de Stravinski : « Vivaldi n’a pas composé 400 concertos mais 400 fois le même concerto ».
On reconnaît à Vivaldi le génie de l’orchestration, c’est-à -dire de la couleur orchestrale : il choisissait avec soin les timbres et recherchait leur équilibre, inventa des associations d’instruments inédites (notamment dans les concertos de Dresde où il préfigure la symphonie classique : voir plus haut), utilisa l’un des premiers les effets de crescendo : c’est, à ce titre, un précurseur.
À 35 ans, il aborde l’opéra et en composera une cinquantaine (écouter le Chœur et air du Printemps extrait de Dorilla in Tempe, 1726, exemple d’auto-citation, procédé fréquent à l’époque). Ajoutons à cela une cinquantaine d’œuvres religieuses (écouter Gloria et Pax in terris du Gloria RV 589, c. 1700).
Haendel, lors de son séjour à Venise, reconnaîtra le génie de Vivaldi.
Ce n’est qu’au début du XXe siècle qu’il est redécouvert et, à partir des années 1950, il devient l’un des compositeurs les plus populaires de la musique classique. D’une prodigieuse facilité, il se vantait de pouvoir composer un concerto en moins de temps qu’il n’en fallait à son copiste pour le transcrire. Ses œuvres, vives et enjouées, constituent une bonne introduction à la musique baroque.
Son œuvre comporte certes beaucoup de redites et de formules toutes faites, mais aussi des merveilles d’invention, de fraîcheur, de poésie et de vivacité. C’est sans doute pourquoi il occupe une telle place dans les rayons des disquaires, dans les concerts… et dans la publicité.
Plus d’informations sur Symphozik : Cet étonnant âge « baroque »
La Bibliothèque Universitaire de Turin possède la plus importante collection de partitions autographes de Vivaldi. L’histoire de son acquisition est elle-même si extraordinaire qu’on pourrait la croire tirée d’un roman.
En 1926, le recteur d’un modeste collège voulut entreprendre des travaux de réparation dans son établissement. Il eut l’idée, pour financer l’opération, de vendre de vieux ouvrages de musique que possédait la bibliothèque du collège. Afin de connaître le prix qu’il pourrait en tirer, il soumit leur expertise au musicologue et directeur de la Bibliothèque Universitaire de Turin.
Il s’avéra que, parmi les volumes de la collection, 14 rassemblaient des partitions de Vivaldi, musicien alors peu connu du grand public ; il y avait aussi des œuvres d’autres compositeurs. Soucieux de ne pas voir disperser une collection aussi exceptionnelle, on trouva une solution pour la faire acquérir par la Bibliothèque de Turin. Après examen des manuscrits vivaldiens, on découvrit que, selon toute évidence, ceux-ci faisaient partie d’une collection plus importante. Grâce à l’aide de généalogistes, on identifia en 1930 le possesseur des autres volumes de la collection initiale qui comptait 13 nouveaux volumes d’œuvres de Vivaldi.
Les deux fonds ainsi rassemblés contenaient 30 cantates profanes, 42 pièces sacrées, 20 opéras, 307 pièces instrumentales et l’oratorio Juditha triumphans, soit un total de 450 pièces dont la quasi-totalité de la musique d’opéra.
Les musicologues ne purent exploiter rapidement cette découverte exceptionnelle, car le directeur de la Bibliothèque de Turin, auquel les droits d’étude et de publication avaient été expressément réservés, était juif et comme tel, interdit d’activité par les lois raciales de l’Italie fasciste. C’est donc seulement après la Seconde Guerre mondiale que ce fantastique ensemble de manuscrits put enfin être exploité.
Anonyme, le 25/04/2023 à 19:44
Vivaldi est un Dieu de la musique, on ne sen lasse pas!!!
Jihel, le 25/05/2021 à 20:02
Combien de fois n’a-t-on pas entendu des gens avertis déclarer qu’il fallait mettre l’art à la portée du grand public, sans d’ailleurs rien faire pour cela . Vivaldi, toujours très populaire, donne envie d’écouter d’autres oeuvres classiques, donne du plaisir tout en étant classique. Il brille par sa présence parce qu’il suggère beaucoup de choses. Mais c’est tellement riche que peu de cinéastes, par exemple, je crois, ont su en tirer parti.
Anonyme, le 23/05/2021 à 14:22
Il est mort exactement 1 siècle avant la naissance de Dvorak et de Chabrier
Anonyme, le 23/05/2021 à 14:21
« Le prêtre roux »
Pauvre Vivaldi, on lui a donné un surnom de sucre
Jihel, le 11/10/2020 à 22:02
Vivaldi avec plusieurs violons, n’est-ce pas épatant ? (Li à suivre)
www.youtube.com/watch?v=AN5PVUjALjo
,
Anonyme, le 17/05/2019 à 18:37
Ce site est vraiment bien, je dois effectuer une recherche sur Antonio Vivaldi et grâce à cette plateforme, j’apprends en m’amusant. Personnellement, je joue d’un instrument : de la flûte traversière, mais je ne m’intéresse pas tant que ça à la musique classique. Mais ce site m’a fait aimer faire des recherches qui parlent de musique classique. Je le recommande vivement ! Encore merci beaucoup ! Ah oui, et mon passage préféré dans les « 4 Saison« de Vivaldi, c’est le printemps, c’est magnifique ! Mais nous n’allons pas nous le cacher, tout est parfait dans les « 4 Saisons » ! Encore bravo !
Anonyme, le 28/04/2017 à 21:48
Mais voyons tout le monde! Vous savez bien que Mr.Vivaldi était un très grand ami à moi. Les 4 saisons L’Hiver était inspirante que cela m’a fait apprendre beaucoup sur moi. Depuis, j’en connais beaucoup plus sur le grand artiste qui est en moi, mais j’ai eu une grande perte lorsque Antonio Vivaldi est décédé, mais je suis extrêmement reconnaissant de se que monsieur Vivaldi m’a laissé, la confiance en mes œuvres. MERCI VIVALDI J’HONNEUR TA MÉMOIRE AVEC L’UNE DES MES PIÈCES: VIVALDI VA COMME CI LA VIE.
Anonyme, le 08/10/2016 à 11:43
Vivaldi ne se résume pas aux quatre saisons il a écrit tellement de concertos à couper le souffle.. En temps que violoniste de longue date, sa musique permet de refouler sa colère, exprimer sa joie..
Anonyme, le 31/08/2016 à 7:21
C’est cool les trucks comme ça celui qui a écrit ou bien ceux qui ont écris je te ou vous félicite merci beaucoup pour cette histoire 💜💖😘
Anonyme, le 12/05/2016 à 19:42
Vivaldi est trot bien j’adore le PRIMTEMPS.
Merci pour celui qui a ecrit l’histoire de Vivaldi .
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azerty, le 19/04/2016 à 10:41
Sur Vivaldi, voici un livre qui fait référence : Sylvie MAMY, « Antonio Vivaldi« (Fayard, 2011). Et surtout : Roland de‎ CANDE, ‎« Vivaldi »â€Ž (‎Solfège/Seuil,1977). Personnellement, sur un sujet aussi foisonnant, je choisirais un angle d’attaque plus précis : par exemple, partir de l’analyse d’une œuvre (opéra, concerto) pour aborder la personnalité du compositeur, son oubli pendant 2 siècles, sa redécouverte, sa popularité actuelle... Bon courage.
Anonyme, le 18/04/2016 à 20:50
Ce site est très intéressant , mais j’aurai aimé trouvé plus d’information sur ses compositions et sa vie (pas religieuse) un peu plus d’information serait le bienvenue dans mon cas (un exposé à rendre ce n’est pas suffisant), voilà .
Anonyme, le 15/04/2016 à 18:33
le film français s’appelle antonio vivaldi, un prince à venise. je l’ai vu hier, très très bien
Anonyme, le 30/03/2016 à 21:22
Drôle de site qui m’a bien amusé. Je vous ai découvert car je voulais retrouver vite si le sublime musicien qui fut d’abord un jeune prêtre roux avec quelques soucis de santé était bien
1- Vivaldi
2- s’il était né à Venise, ou en Albanie (!) souvenir erroné- d’un film génial- dont je cherche maintenant le titre. : si quelqu’un l’a vu.... Merci de me le dire. BJ
Anonyme, le 30/03/2016 à 19:00
Super œuvre de Vivaldi les Quatre-saisons surtout l’hiver
BRAVO BRAVO BRAVO!!!!!!!!!!!!
Anonyme, le 16/02/2016 à 11:53
Ma prof de musique nous a donné une punition:exposé sur un grand compositeur et bien moi lorsque je l’ai fait grâce à ceci je l’ai pas trop pris ça pour une punition tellement c’était intéressant. Bref‚merci beaucoup !!!
Anonyme, le 13/01/2016 à 12:20
le printemps est super j’adore !!! j’aime aussi l’automne :)
moi aussi je dois faire une fiche mais j’aime beaucoup donc c cool
Anonyme, le 24/11/2015 à 18:54
Je devais faire un recherche pour mon conservatoire et j’ai pu découvrir un compositeur merci beaucoup
Anonyme, le 26/09/2015 à 11:22
Perso je dois rendre une fiche sur lui alors franchement moi vivaldi...
Anonyme, le 14/09/2015 à 14:29
Je suis apprentie dans les soins et je dois faire un travail sur un personnage historique et comme je joue de la flûte dont les quatre saison de Vivaldi et le concert Il Gardelino j’adore ce compositeur et virtuose ce site m’aide énormément
Anonyme, le 21/06/2015 à 15:43
je doit faire une recherche pour le collège et je trouve que ce site est pas mal maintenant faut voir la note!!
Anonyme, le 07/05/2015 à 22:07
votre biographie est plutot malveillante.Je ne vous félicite pas...
A.V.
Symphozik, le 07/05/2015 à 23:28
Oui mais regardez tous les commentaires laudateurs, cher Maître !
Anonyme, le 19/03/2015 à 17:49
Je sui moi même italien et j’aime tout les compositeurs Italiens qui beaucoup de génie!
Anonyme, le 22/11/2014 à 14:37
Vivaldi était une vrai star, c’était rare à son époque... Moi je dis : bravo pour être sorti du lot !
Anonyme, le 22/11/2014 à 13:19
Perso, je préfère le printemps... Vivaldi est un des seuls compositeurs que je connaisses, mais c’est sans nul doute mon préféré !
Anonyme, le 28/10/2014 à 11:45
franchement ce n’est d’aucune utilité sachant que de 1 les oeuvres qu’il a fait ne sont pas afficher pourquoi vous croire ? Croire qu’il etait t-un grand compositeur alors que nous ne pouvon pas jugez par nous même ! Je juge sa comme une m*rde ! Eh oui vulgaire ou pas a vérité blesse vousm’avez fait perdre 5 min de mon temps pour de la m*rde assuré ? autant aller sur wikipédia si c’est cela que vous voulez adieux donc ? J’y crois pas je suis remonter contre une arnaque ?Une arnaque de premier niveau c’est de la daube ! de la bouse ! DE LA M*RDE VOILA TOUT !
Anonyme, le 21/09/2014 à 19:18
Ce site est génial! Je pense que je vais prendre ce site pour ma biographie, moi qui me suis ennuyé à aller sur Wikipédia, qui m’embrouille complètement, alors que cette biographie est compressée! :3
Anonyme, le 20/09/2014 à 22:18
Dans ’’Les Grands Maîtres de la Musique, des Editions Time-Life’’ le document accompagnant les 4 longs-jeux mentionne, en page 5: « A Crémone, Antonio Stradivari, l’aîné de Vivaldi, avait porté l’art de la fabrication du violon à un sommet de perfection…« Les prêtres avaient-ils le droit de se marier et de procréer? Ce fut une époque fertile en génies!
Michel Gravel.
Anonyme, le 02/08/2014 à 15:19
une joie intense, naïve, continue d’une âme infiniment pure qui laisse couler en elle une musique toute naturelle, toute en finesse, où la simplicité et la science atteignent une perfection...je peux l’écouter inlassablement tant elle pénètre et nourrit l’âme...
Anonyme, le 01/06/2014 à 16:00
j ai bien aimé le site très enrichissant
Anonyme, le 08/05/2014 à 20:16
J’adore « presto« de l’été c’est l’oeuvre que j’ai choisie en histoire des arts .
Anonyme, le 04/02/2014 à 17:44
Ceci est une tres bonne biographie .L’histoire de son parcoure y est tres bien resumer !
Je suis collegienne en 4bet mon prof de musique voulaid que lon fassent une recherche sur Vivaldi Et j’ai ue 19,5 !
merci encord enormement !
Ce site est SUPER
Anonyme, le 07/10/2013 à 18:47
Très bonne biographie, bien résumée moi qui suis collégienne et devait faire une recherche pour un devoir j’ai appris des choses te intéressantes et enrichissantes pour ma part, dans les quartes saisons j’adore l’été et plus particulièrement le moment de l’orage !!
Merci beaucoup ce site est super !! :)
Anonyme, le 11/04/2013 à 18:16
j’adore les quatres saisons mais je prefere l’ete car je l’ecoute tous les jours depuis un an !!!
bravo pour la personne qui a ecrit ce texte :)
Anonyme, le 09/04/2013 à 13:08
j’aime beaucoups Vivaldi pour ces oeuvres en générale, je l’écoute avec receuillement , quand j’entends le gloria , j’ai envie de prier moi qui suis trés croyante , pas pratiquante mais croyante , mais ce gloria me met particulièrement en condition pour appeler Dieu et communiqué avec lui , merci Vivaldi, grand merci Antonio Vivaldi.
Anonyme, le 14/03/2013 à 18:08
mwa comme c est une recherche pour le college eh bah j aime pas trop
enfaite j aime juste quand il va apprendre a des filles a jouer du violon
Anonyme, le 12/03/2013 à 15:09
hé, Symphozik, va faire tes commentaires ailleur!
Symphozik, le 09/02/2013 à 18:32
Je vous préviens je laisse encore passer le printemps et après basta :P
Anonyme, le 09/02/2013 à 18:06
Moi j’adore l’automne !
Anonyme, le 08/02/2013 à 14:56
Et moi l’été !!
Anonyme, le 17/12/2012 à 14:33
moi c ’ est plutot l hiver c ’est une chanson douce qui raconte une histoir d ’amour ou de relation amoureux
Anonyme, le 18/09/2011 à 15:45
je trouve que vilvaldi est trop bien. Bravo pour celui qui ecrit son histoire. Mes oeuvres preferer sont les quatres saisons mais surtout le PRINTEMPS
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